Génial ! C’est le week-end, avec du beau temps prévu et effectivement présent le samedi, en route pour la petite Rhune (encore jamais gravie depuis toutes ces années) et la borne 22 au col de Zizkouitz (j’adore ce nom !) un peu plus loin, plus le casse-croûte à Yasola de nouveau si tout va bien.
Archives Mensuelles: février 2013
Le lac Marion
Ciel dégagé vendredi dernier, et si j’allais faire le tour du lac Marion à Biarritz ? Avec toute l’eau qui est tombée, le niveau doit être haut… et en effet !
Sainte-Barbe
Sainte Barbe, pour moi, petite, c’était le dimanche de l’année où la fanfare des pompiers faisait la musique à la messe dominicale, et dans la cathédrale c’était quelque chose d’impressionnant, après çà quand on vous parle de style pompier il n’y a pas besoin d’explication.
Mais c’était aussi et déjà le nom de ce promontoire de Saint-Jean-de-Luz où l’on allait quelquefois se promener en famille et regarder sauter les vagues. Ce secteur est désormais très bien aménagé par la ville de St Jean, et la vue sur la baie y est toujours aussi splendide. Étant donnée la proximité du lieu, c’était un bon endroit pour aller s’aérer un peu pendant l’éclaircie de l’après-midi ce dimanche 10 février.
9 février : d’Insola à Yasola en passant par les bornes.
Dans le droit fil des dernières performances de la météo qui se situent davantage du côté des records de pluviométrie que d’ensoleillement, on a pu trouver avec beaucoup de bonne volonté une petite lucarne le samedi matin où on pouvait espérer marcher un peu sans trop se mouiller, quoique …
L’avantage qu’il y a à pister les bornes frontière, c’est qu’il y en a tout de même pas mal par ici qui se trouvent à moins d’une demie-heure de marche d’un accès voiture, ce qui ne sera plus le cas vers les Pyrénées centrales. En voiture donc pour le col d’Ibardin et la petite route qui mène près des ventas Insola et Zahar, d’où on peut en longeant un peu le ruisseau vers l’aval rejoindre rapidement les bornes 18 et 19 situées sur les deux berges.
3 février : les bornes 4 et 5.
Un dimanche avec fenêtre météo ! Pas énorme, mais suffisante pour se rendre jusqu’aux bornes 4 et 5, en passant par les suivantes que nous avons déjà visitées, et en s’arrêtant au passage pour reconnaître la 12 et la 13 qui se trouvent sur le site du col d’Ibardin.
Du nouveau dans la cuisine.
Trop de souci avec la trop vieille gazinière récupérée à Auch il y a quelques décennies, surtout depuis que la porte du four avait reçu le plat de zarzuela du réveillon 😦 , elle ne fermait vraiment plus du tout. Mais impossible de retrouver l’équivalent en un seul appareil, alors grands changements à réaliser : plaque de cuisson et four séparés, un nouveau plan de travail en un seul morceau et si possible un peu assorti au reste, un bon lot d’heures de bricolage en perspective.
28 janvier : les bornes 2 et 3.
Ce n’est toujours pas la saison des champignons, mais il nous reste les bornes, bien plus faciles à trouver, surtout avec un super GPS qui fonctionne formidablement bien et qui semble même capable de faire des photos ! Nous voilà donc partis pour rejoindre la borne 2 par un itinéraire un peu moins escarpé et glissant que celui trouvé précédemment, avec la possibilité de faire une boucle, plus intéressante qu’un simple aller-retour.
Pour aller au point de départ, on suit les indications données par Jean-Paul Dugène sur son site, pas moyen de se tromper.
La grande digue de Tarnos.
C’est une promenade bien différente des bornes, pour laquelle une petite fenêtre météo de 2 ou 3 heures suffit. La grande digue, qui mesure 1 km de long, et se situe sur la commune de Tarnos, donc dans le département des Landes, protège l’entrée du port de Bayonne qui se fait par l’embouchure de l’Adour, et s’avance d’autant dans l’Océan, avec tout ce que cela comporte. Ce 19 janvier, on pouvait aller jusqu’à l’extrémité sans se faire doucher, mais ce n’est pas toujours le cas.
17 janvier : la borne 1 (et quelques autres).
Il y a déjà un certain temps que l’on se balade plus ou moins en suivant la frontière entre la France et l’Espagne et que j’ai commencé à prêter attention aux bornes que l’on y rencontre à certains endroits. Puis j’ai remarqué qu’elles avaient souvent des indications chiffrées, et dont les nombres semblaient respecter un ordre, croissant d’Ouest en Est. En étudiant la question d’un peu plus près, on apprend que ces bornes constituent effectivement un marquage de la ligne frontière d’un bout à l’autre des Pyrénées (et qu’il y en a certainement tout le long des frontières du pays), et que les numéros vont de 1 à 602 pour ce qui concerne les Pyrénées. Les cartes IGN au 1/25000ème les signalent avec parfois quelques erreurs, mais après en avoir photographié un certain nombre au cours de diverses promenades j’ai fini par m’interroger sur les toutes premières que nous n’avions jamais vues, et donc pour commencer la borne 1.
Comme la journée n’est pas encore trop avancée, nous reprenons la voiture et rejoignons le col d’Ibardin pour suivre la frontière et trouver quelques bornes en sens inverse.
Pour ceux qui voudraient approfondir leur culture sur les bornes des Pyrénées : http://robertauxbornesdespyrenees.kazeo.com/
Nizon
Nos arrière grands-mères étaient sœurs ! Cela ne date pas d’hier, mais il doit bien nous rester quelques gènes en commun. Mettant à profit une récente proximité géographique et l’une des rares journées clémentes de ce mois de janvier, nous avons décidé de nous rencontrer, pour une fois, en dehors de l’abominable environnement des cimetières, lieu privilégié des rencontres familiales.
Une bonne journée de retrouvaille, trop vite passée. On recommencera, c’est sûr ! Pour l’heure, il se faisait temps pour Nizon de rejoindre les Landes pour aller coucher les poules et autres compagnons à poils, à plumes ou même à carapace…