Vendredi 26, on doit ramener les garçons à Toulouse ce soir, car il y a un projet de voyage avec les parents pour leur deuxième semaine de vacances. Avant de partir, il faut faire le point sur l’avancement de la saison.
Le terrain est toujours en pente, pas de changement au verger. Les trois étagères à patates sont dûment ensemencées.
Les pommiers ont des fleurs, mais on sait bien que la production ne sera pas aussi abondante qu’en 2018.
Certaines plus ouvertes que d’autres. Mais toujours beaucoup de délicatesse.
Le pommier « belle de Boskoop ». C’est le plus éloigné de la maison. Il a survécu tant bien que mal à la chute d’un gros saule qui l’avait gravement endommagé.
Le cognassier a des fleurs ! Il est malade, et ne fait plus de fruits, mais s’il refait des fleurs, peut-être qu’un jour …
Oooooh ! Vous la voyez, la petite verte, dans la fleur ?
Le poirier qui a été déplacé a beaucoup fleuri. Maintenant, il porte pas mal d’embryons de poires, aussi. Il réussira même à vraiment nous faire UNE poire, mais bien plus tard, évidemment.
Un peu plus haut dans les jardins, c’est la saison des orchis. Je pense que ce sont des orchis mâles, elles refleurissent tous les ans.
Regardez un peu ce qui se cache sous le lierre !!!!
Quelle intéressante découverte !
Le lilas est en fleurs, à cette saison. Peu de chances que je le voie cette année, hélas.
Et là, ce sont les fleurs de groseillier. Ceux-ci sont censés donner des groseilles rouges, mais ils n’en font pratiquement pas, et je ne sais pas pour quelle raison, c’est assez pénible.
Et voilà, c’est la fin du tour des jardins, où les pissenlits allument partout leurs petits soleils, à cette saison. Des petits soleils qui se referment le soir pour le confinement nocturne. Demain, le jour reviendra…